bon puisque apparement les blagues marseillaises vous plaisent j en balance une autre,un peu moins"fine" que la precedente,mais bon on est en fin de semaine.......et j ai la memoire qui flanche
alors encore trois lascars (une allemand,un belge et bien sur un marseillais)qui se font l apero tranquillou sur la celebre + grande avenue du monde a marseille l apero s eternisant,les conneries commencent a fuser!!
l allemand tres fier de lui ,annonce qu il a 20 mercedes
le belge ,ne voulant pas etre en reste : moi une fois j ai 15 maisons,de plusieurs grandeurs et dans plusieurs pays !!
le marseillais tire un peu la gueule,car il n a qu une bagnole et habite les quartiers nord alors il dit a ces comperes qui attendent, ben moi con,j ai ni maison et qu une bagnole pourrie,mais j ai une bite de 40 cm les deux autres estoumaqués n osent pas en rajouter et l apero se contini jusqu a tard dans la soirée
le lendemain nos trois lascars se retrouvent,avec bien sur une casquette plombée et la tronche a l envers,l allemand s excuse tout penaud,et leur dit que finalement il a menti il n a en fait qu une vieille mercedes
le belge lui aussi confu,moi aussi une fois !je n ai qu une maison
le marseillais leur dit et ,moi aussi je vous ai menti,en fait j habit pas marseille,mais aix en provence
Enregistré le: Ven Juil 06, 2007, 19:06 Messages: 1180 Localisation: mare nostrum
C'est un marseillais qui part faire un peu de charter pêche sur l'océan indien. Le troisième jour le bateau suite à un incendie a une avarrie et tout l'équipage meurt noyé (pas d'électo-mécanicien serieux à bord !).
Le marseillais lui, derrive plusieurs jours et arrive finalement sur une île deserte. Il y passe un mois tout seul (île deserte!).
Puis un matin alors qu'il se promène sur la plage il aperçoit un radeau échouée. Il regarde de plus près et dicerne une silhouette féminine à proximité.
Il traverse alors la plage en courant à la rencontre de cette naufagée.
Le dialogue s'installe.
Madame (blonde trop bonne videmment ! ) : "Vous êtes là depuis quand ?"
Le marseillais croît reconnaître l'accent et lui demande : "Tu es de Marseille toi aussi ??? Oh cousine comme je suis content ! Tu n'imagines pas, 2 marseillais qui se retrouvent sur une île deserte de l'océan indien ! C'est incroyable ! Si on pouvait arroser ça ce serait énorme ! J'aurai pas dit non à un petit jaune sur ce coup là ! "
La Madame : " Tu veux du pastaga ? "
Et elle ouvre le sac à dos et lui sert un pastis !
Le marseillais : "C'est extraordinaire tu sais ! Si seulement on avait quelques olives, alors là ce serait le plus beau jour de ma vie ! "
La Madame : " Tu veux des olives? "
Le marseillais: "Me dis pas ça c'est pas vrai !!! "
et elle rouvre son sac à dos et sort une boîte d'olives !
Puis elle lui demande: "Tu es la depuis longtemps toi ?"
Le marseillais : "Un mois à peu près."
La Madame : "Tu aurai pas envie de tirer un coup par hasard depuis tout ce temps ? "
Le marseillais : "Mais tu entends quoi par tirer un coup ? Je comprends pas bien là... ? "
La Madame : "Je sais pas moi ! Ca fait un mois que tu es seule sur ton île, ça doit te manquer, tu dois quand même avoir un peu envie de tirer un coup quand même ! "
Le Marseillais : "Oh cousine, ne me dis pas ça ! Me dis pas que tu as aussi amener les boules !!!! "
Ce sont 3 petites souris marseillaises assises autour d'une table au fond
d'un grenier qui discutent le bout de gras. Et la modestie n'est pas leur vertu cardinale.
La première affirme avec insolence :
- Vous savez les tapettes dans lesquelles on nous attire avec un morceau
de gruyère ?
- Eh bien moi j'ai réussi à en soulever les mâchoires et à prendre le
fromage !
La deuxième, pour ne pas être en reste, enchaîne :
- Vous voyez les grains de blé empoisonnés qui traînent çà et là ?
- Eh bien moi je les grignote comme des biscuits à l'apéritif !
La troisième décide de s'en aller.
Les autres souris :
- Où vas-tu ? Lui demandent-elles inquiètes
- Je rentre. C'est l'heure d'enculer le chat...
Allez ! je vous raconte la mienne, Marseillaise bien sur
Notre petite histoire se déroule pendant le XX° Congrés de la Police à Nice...
Un matin un de nos 'flic' marseiilais s'installe sur la plage de la promenade avec sa canne à pêche et attends patiemment une touche.....
A ce moment un collegue parisien qui fait son jogging, s'arrete à sa hauteur et lui demande: (dialogue)
_Bonjour mon brave, cela mort il ????
_Ben pas encore, vous savez je suis pas d'ici, je connais pas trop le coin, je verrais bien si ca mord...
_Ah oui, mais d'ou etes vous cher ami...
_De Marseille, je suis là pour le congrés de la police....
_Enchanté cher collegue, Pariguaux inspecteur à Paris... Dites moi, entre nous , les interogatoires à Marseille, c'est plutot musclé non ???
_Maiis nan, conneries de journalistes tout ca...
_Ouiii, Yui on dit ca on dit ca, mais les etrangers, vous cognez un peu non....
_Pas du tout, conneries de journalistes, c'est des calomnies ca mossieu !!!
_Ne me dites pas qu'un petit coup de bottin de temps en temps....
_Calomnies de perisiens tout ca...
_Et les menottes au radiateur, vous pouvez me le dire à moi....
_Je vous dit que c'est des calomnies, et puis ya pas de radiateur à Marseille.... Sur ce sa canne plie et son moulinet commence à se vider....
_Oh fada, c'est un monnssstreu, tu vas voir comme je vais te le fracccassser cet inc*****, allez vient PD....
Apres quelques minutes notre policier-pecheur marseillais ramene sur les galets de la promenade un magnfique loup de 7kg...
Il se jette dessus, commence à le couvrir de coup de poing en lui lançant!
_Tu vas parler, fatche de con, en****, y sont ou tes collegues
Tout cela avec accents bien sur (parigo et belle de mai..)
Un jour dans un train, en Savoie, un Parisien... (Inclassables) (avec son echarpe du PSG), un Marseillais (avec son écharpe de l'OM) et une jolie Norvégienne sont dans le même compartiment .
Ils roulent comme ça, sans se parler, depuis des heures quand un tunnel vient plonger le train dans l'obscurité la plus totale.
On entend alors un bruit de bisou, immédiatement suivi d'un bruit de baffe.
Quand le tunnel se termine, que la lumière revient, le Marseillais et la Norvégienne sont assis comme si de rien n'était et le Parisien se tient la tête a deux main, visiblement sonné.
Le Parisien se dit :
"Le Marseillais a du embrasser la Norvégienne, elle a cru que c'était moi et elle m'a mis une claque."
La Norvégienne pense :
"Le Parisien a du vouloir m'embrasser mais il a loupé son coup et a embrasse Le Marseillais qui n'a pas apprécie."
Le Marseillais se dit :
"Au prochain tunnel, je refais le bruit du bisou pour coller une autre mandale à cet e......de Parisien."
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