Enregistré le: Mar Jan 13, 2009, 17:34 Messages: 54 Localisation: Comines Belgique
Séjour pêche de l’aïmara en Guyane française
Réveil à 5h du matin pour être chez mon père dans la Somme à 7h, c’est lui qui m’emmène à l’aéroport d’Orly en boudant un peu. Après 30 minutes de bouchons sur l’A84, me voilà enfin à Orly. J’enregistre directement et je passe sans souci la sécurité malgré mes trois moulinets et mes leurres sans hameçons dans ma valisette de cabine, pour une fois on dirait que ça commence bien… J’attends Laurent, mon coéquipier que je ne connais pas. Il a déjà fait ce séjour et c’est lui via une annonce sur internet qui m’a fait prendre part à ce voyage de pêche. Il arrive vers la fin de l’embarquement et on fait connaissance en discutant pêche bien évidemment. Nous prenons le vol Air Caraïbe TX570 à bord d’un A330 en destination de Cayenne Rochambeau et après 9h10 de vol nous arrivons à l’aérogare pour se dégourdir les jambes. Etant grand, j’ai toujours eu du mal à trouver mon espace vital dans un avion. Après un peu d’énervement à attendre nos tubes à cannes qui arrivent, comme tout le monde le sait, les derniers, nous sortons car dehors nous attend le cousin de Laurent pour nous conduire chez Jacques. Guide de pêche en Guyane depuis 1998, il habite à Roura dans le parc régional de « je ne sais plus quoi », juste derrière un bras de la … ché plus non plus Jacques au moteur A notre arrivée, je fais connaissance avec ce sympathique guide d’un certain âge (j’espère qu’il ne m’en voudra pas) qui a des dizaines d’anecdotes à raconter. Il me fait rire car on sent qu’il en a déjà tellement vu qu’il a de quoi raconter pendant des heures. La nuit étant tombée depuis longtemps, Jacques m’explique comment installer un hamac et je passe ma première nuit dans cette fameuse grosse banane à moustiquaire. Après un peu d’hésitation, je passe une bonne nuit qui me permettra d’affronter la dure journée qui nous attend. Au petit matin, on commence à préparer nos affaires et à charger notre barque en aluminium de 6m x 2m équipée d’un moteur 30 ch. Je suis surpris d’apprendre que l’on n’aura aucun moyen de communication pendant toute la semaine mais je reste confiant en l’expérience du guide. Pour tracter la remorque, Jacques a fait appel à son petit voisin qui dispose d’un gros 4x4 qu’on s’empresse d’atteller. Le barrage de petit Saut se trouve à plus de 150km et il y a un pont défectueux sur la route, ce qui nous amène à faire une « sacrée » déviation. On a plus de deux heures de route pour se rendre à l’embarcadère. Pendant mon trajet, mon jeune chauffeur me demande si ça ne me dérange pas qu’il fume un « tarpé », je lui réponds que non à partir du moment où il assume une bonne conduite. Voyant qu’il a une trouille bleue des gendarmes, je ne comprends pas vraiment cette prise de risque. Voilà pour la couleur locale, il m’explique aussi les risques de la Guyane et du Surrinam voisin où il va régulièrement. Embarcadère du barrage de Petit-Saut A l’embarcadère, je suis surpris de voir que la concurrence est déjà là avec un bateau pirogue très long mais pas maniable d’après Jacques. Il a, à son bord, un couple d’européens. Ils vont pêcher aux mêmes endroits que nous. Après quelques mots échangés, histoire de voir comment ça se passe chez les autres, nous voilà partis pour 80km et 2h30 de bateau à « fond la caisse » pour arriver le plus vite possible sur notre lieu de bivouac. Laurent est trop impatient de pêcher. Nous traversons de magnifiques paysages Moment de bonheur, se réveiller en même temps que la nature Nous arrivons vers 15h sur un campement abandonné. Après avoir vite placé la bache plus ou moins étanche qui nous sert de toit, on se précipite sur l’installation de nos cannes. Pour 16h chrono, on doit avoir pris notre premier aïmara…
Vendredi 12-02 Temps : Soleil puissant On saute dans la barque et très rapidement nous arrivons à Saut Mouche Barrage de Saut-Mouche Jacques m’indique un endroit où je dois lancer mon leurre, en l’occurrence un leurre américain en bois que j’avais commandé sur Ebay Magnifique leurre : durée de vie 2 min Malheureusement je loupe mon lancer et mon leurre tombe à trois mètres de nos pieds. Je tends mon fil et je subis une attaque de fou qui nous surprend tous les trois. On reste un peu scotchés sur place tellement l’attaque fut inattendue et puissante. Je ferre et j’arrive à maîtriser le poisson que je ramène au bord. Jacques traîne l’aïmara de ~ 5 à 6kg sur les rochers et n’arrive pas à le décrocher. Normal, dans la précipitation, on avait oublié une pince pour décrocher. Il se débat tellement qu’après plusieurs essais infructueux, l’aïmara arrive à regagner l’eau et arrive à traîner ma nouvelle canne Shimano Lesath 255XH sur un mètre. J’étais tout blanc en voyant déjà mes anneaux griffés, voire pliés… Et Oui, je suis hyper soigneux avec mes affaires… Il réussit finalement par casser ma tresse de 50lb mettant fin à mon premier combat. Me voilà fixé sur la puissance d’un aïmara… Je comprends très vite que je suis dans de la pêche extrême, puissance GT mais en eau douce.
Samedi 13-02 Temps : Soleil puissant Jacques décide de monter au Saut suivant, Takari-Tanté et arrive non sans quelques difficultés à franchir Saut Mouche. Dur dur, d'être un pêcheur (Laurent à droite) Nous, pour éviter tout problème, nous sommes partis avec nos cannes pour traverser le saut à pied en traversant la forêt, je ne vous raconte pas le parcours du combattant pour franchir la montée encombrée d’arbres, de ronces et de plantes touffues. Après 30 minutes de stage commando, nous arrivons enfin à Takari où Jacques nous attend sur une berge vaseuse. Nous pêchons de 8h à 13h. Je passe d’un rocher à un autre, le tout en tongs ! En passant en équilibre sur des troncs couchés, traversant les rapides avec mon matos pour rejoindre un autre endroit encombré. Là, je dois avouer que j’ai eu très peur de me casser une jambe. Sous la tutelle de Jacques, nous prospectons quelques coins, il m’indique à chaque fois où je dois lancer. Mon premier poste est une petite cuvette où je m’empresse de lancer mon nouveau leurre Pulsion Orange tigré. A peine mis à l’eau me voilà en combat direct avec un aïmara de 6 à 7kg qui s’aide du courant pour plier ma Lesath comme une grosse carangue de 15 à 20kg. Premier aïmaraDeuxième aïmaraEt non, ce n'est pas toujours le même Là encore, je suis surpris par la puissance de ce poisson. Après quelques minutes de combat afin de calmer la bête, Jacques descend pour le prendre avec ma pince à poisson. Je suis trop content et ça se voit sur la première photo que je prends avec mon poisson. Toujours sous la guidance de Jacques, je prends deux autres aïmaras de même calibre, toujours dans des conditions difficiles. Je prends le dernier à la jonction de deux petits affluents, à ma grande surprise, à même pas un mètre de mes pieds. Toujours avec une puissance qui me laisse perplexe. Chaque prise s’est combattue comme un damné en sautant, tel un tarpon et cherchant tous les obstacles pour se décrocher ou couper ma tresse sur les rochers.
Dimanche 14-02 Temps : Soleil modéré Matin : Je pêche avec ma petite canne de 3m des vifs à la pâte pendant que Jacques pêche au lardon des carpes carnassières de plus de 20cm qu’on utilisera en vif. Après une vingtaine de vifs, nous voilà partis à la pêche au vif sur le fond en dérive avec ma petite canne de 10-20lb muni de tresse 30lb, je prends coup sur coup 5 acoupas qui se défendent pas mal sur ma canne fine. Très vite, j’ai envie de pêcher avec un gros vif sur ma « grosse » canne, je mets en montage tandem un vif de 20cm. Après quelques minutes d’attente, j’ai une petite tape qui se transforme très vite en une grande tirée. Je ferre énergiquement et j’ai l’impression d’avoir un gros parpain au bout de ma ligne. Je le ramène comme je peux et arrivé presque à l’aplomb du bateau, il repart de plus belle. Il reprend du fil et arrive à se décrocher. L’après-midi, vus les bons résultats au vif, nous décidons de reprendre des vifs pour remettre ça en soirée, à la tombée du jour. Le plein de poisson « fourrage » fait, nous repartons en quête de sensations fortes… Je remets un petit vif sur ma petite canne et je reprends très rapidement 1 acupa qu’on mangera le soir en barbecue plus de nombreux ratés ou décrochages. Après l'effort, le réconfort En soirée, je remets un gros vif et après plusieurs décrochages, je prends un aïmara de ~ 5kg En revenant, Jacques nous indique comment surprendre les yeux refléchissants des caïmans dans leur sieste nocturne. Après le repas, on se voit prendre une bonne averse histoire d’avoir les vêtements bien humides pour passer la nuit.
Lundi 15-02 Temps : Nuageux En plein sommeil, vers les 4h du matin, la branche du carbet où étaient fixés nos hamacs a cédé en faisant un gros bruit qui nous a réveillés en stupeur tous les trois. Malgré une pluie persistante, on a du rechercher et couper une nouvelle branche pour suspendre nos hamacs, plus une branche de force en fourche pour supporter le tout. En cherchant cette branche, nous sommes tombés sur les yeux brillants d’un gros serpent qui restait statique à la vue de nos torches lumineuses. Il a bien fallu plus d’une heure afin de réparer notre maison de fortune. Hôtel local, type "Grand Luxe" Comme le jour commençait à se lever, nous décidons d’aller directement pêcher au leurre.
Mardi 16-02 Temps : Ensoleillé et nuageux en soirée Comme il restait quelques vifs qui trainaient dans la barque, Jacques prend une sorte de poisson chat que l’on s’empresse de prendre en photo parce qu’il a un belle robe grisâtre avec de très longues moustaches. Laurent et moi n’avons aucune touche au leurre, ça prouve bien que la pêche reste une activité capricieuse. Nous revenons avec un sentiment d’insatisfaction. Jacques, pour nous consoler, nous prépare un ti ponch local et nous mitonne un plat que j’ai personnellement du mal à oublier, ses mythiques pommes de terre au lard, le tout parsemé d’herbes locales. Etant gourmand de nature, j’ai demandé à finir le plat en soirée…mea culpa Après un bon repas arrosé d'un chti canon, je pique un petit roupillon pendant que mes compères préparent des vifs pour la soirée. Après un repos bien mérité, nous repartons pêcher au vif. Je prends rapidement deux acupas, dont un qui pèse plus de 3kg + une attaque avec un vif de 30cm qui me coupe ma tresse de 50lb comme du beurre. Enervé par cet échec, je remonte rapidement une olive de 20gr, un émerillon et un bas de ligne d’acier. Je garnis le tout d’un nouveau vif, une sorte de grande alose de 25cm. A la tombée de la nuit, je sens qu’on s’intéresse à mon appât, me voilà à nouveau captivé et j’attends avec impatience la grosse tirée qui m’indiquera que je peux ferrer à nouveau. Le temps de le penser, me voilà déjà en contact avec un gros aïmara de 6kg que je m’empresse de ramener au bateau pour faire la photo. La nuit étant, nous revenons calmement en cherchant les caïmans. Jacques trouve rapidement un gros caïman que Laurent essaye de pêcher au leurre. A deux reprises, il choppe le leurre mais le recrache aussitôt, à croire qu’il n’aime pas le goût du plastique. Jacques conseille d’accrocher un bout de poisson, aussitôt dit, aussitôt fait. Dès que le poisson est venu près de sa gueule, il l’engloutit sans sourciller et nous voilà en combat avec un gros caïman de plus de 2m. Je ne vous raconte pas le raffut et les coups de queue, plus les roulés boulés que fait par instinct ce type de reptile. Après quelques photos et une fois la bête calmée, on s’est très vite trouvés confrontés au problème de devoir décrocher l’hameçon sans le blesser. On l’a ramené tout doucement le long de la barque en ne faisant sortir que la gueule afin que l’on puisse agripper l’hameçon avec une grosse pince à sleeves sans qu’il puisse nous voir arriver. Décroché rapidement sans soucis, nous voilà émerveillé d’avoir pris une telle prise.
Mercredi 17-02 Temps : Nuageux parsemé d’éclaircie Pêche du matin de 9 à 14h au popper, nous commençons à Saut Mouche où, malgré deux attaques loupées, nous ne prenons rien. En descendant, je tape juste devant un rocher un très gros aïmara de plus de 10kg au spinnerbait avec ma petite canne munie de 30lb. Avec misère, j’arrive à le maîtriser avec ma petite canne pliée en deux, tout content d’arriver à vaincre ses démarrages, je me voyais déjà avec la photo du séjour. Jacques, en voulant le prendre à la pince n’arrive pas à le gaffer de suite. Voyant ça, j’ai voulu le ramener juste à l’aplomb du bateau ce qui a fait que l’aïmara a pris comme appui la coque pour repartir en furie sous le bateau. Ma tresse glissante sur la coque finit par céder sous la puissance de ce poisson. Désolé mais pas résigné, je décide donc de remettre un autre spinnerbait mais cette fois-ci sur ma grosse canne munie de 50lb. A croire que c’était la journée du spinner, pas 5 minutes plus tard, j’avais déjà repris un aïmara de 6 à 7kg. En continuant la descente du fleuve, je ne décroche pas moins de 5 poissons pour terminer à reprendre mon troisième poisson du même calibre que le deuxième.
Jeudi 18-02 Temps : Pluie soutenue toute la journée Jacques, toujours avec le sourire Nous décidons de remonter pas trop loin au popper car on sait qu’on devra démonter notre carbet avant le départ. Laurent et moi, malgré nos nombreux lancés, n’arrivons à toucher aucun poisson. Seul Jacques arrive à remonter, avec son beau Bull décoré façon art chinois, un aïmara en surface qui s’empresse de se bloquer dans les branches avec son tout nouveau leurre. Après de nombreuses tentatives afin de décrocher le leurre, nous arrivons enfin à revoir les belles couleurs mais bien entendu sans le poisson qui nous a faussé compagnie sans nous dire au revoir. Légèrement déçus par notre dernière journée de pêche, on se résigne à démonter notre cabane et ranger nos affaires sous la flotte. On claque vite fait nos habits dans des grands sacs poubelles que l’on fera sécher à notre arrivée chez Jacques. Après 3h30 de navigation rapide pour revenir à l’embarcadère sous une pluie soutenue, nous chargeons rapidement notre barda dans le C15 et attelons au plus vite la remorque de la barque. Malgré la vase et le limon dus aux pluies, nous arrivons directement à soustraire le tout avec le C15 en forçant un peu sur l’embrayage qui sentait un peu le roussi. Vue l’heure tardive, Jacques voulait se reposer à un carbet situé non loin de l’embarcadère afin de reprendre la route au petit matin. Manque de chance, il n’arrive plus à le situer. A dire vrai, je ne demandais pas mieux car je rêvais d’arriver chez Jacques afin de prendre une douche bien chaude, histoire d’oublier cette journée humide. Malheureusement, sur la route chaotique, une des petites roues de la remorque a explosé sous la charge d’une barque et d’une remorque bien chargée. Jacques décide d’enlever le maximum et de la laisser le long de la route, en prenant soin de la mettre un peu à l’abri. En quelques minutes, comme nous étions dans les marais, nous voilà attaqués par des milliers de moustiques, ce qui précipita notre départ pour la maison. Nous finissons par arriver et je cours prendre une douche, mettant fin à cette journée de m… Décrassé, je monte vite fait mon hamac pendant que Jacques nous fait des crevettes piquantes, que dis-je ultra-piquantes. Au matin, après avoir bien rangé mes affaires de pêche, nous conduisons Laurent chez son cousin, il part pêcher pendant encore une semaine les baby tarpons. Jacques m’invite à un self afin de nous enfiler une bonne entrecôte grillée avant d’aller au marché, afin d’apporter des épices à ma concubine, malheureusement il était déjà fermé. On visite un peu le littoral de Cayenne où les locaux ne semblent pas apprécier la plage quand je compte le nombre de personne... Personne à l'horizon Nous rentrons chez Jacques, histoire de prendre ma dernière douche avant mon retour. A mon arrivée, à Orly, je m’aperçois que tout l’aéroport est bloqué suite à une alerte à la bombe. J’arrive à sortir en passant tout au bout du terminal S et rejoint mon père qui, bloqué dans les bouchons. En conclusion, aïmara ça commence par A comme Aventure
Modifié en dernier par GT-Tropic le Dim Fév 28, 2010, 15:58, modifié 40 fois.
Salut Fabrice , eh bien on dirait que c'était une sacrée expédition.
Merci pour ce beau report.
Je pense qu'il serait bien que tu ouvres un post dédié dans C.R. voyages de pêche et que tu fasses un copié collé de ton report pour que le plus grand nombre en profite sinon pas mal de membres risquent de passer à coté et cela serait dommage pour un récit aussi original et intéressant.
Pour les photos il y a des post-it qui expliquent mais en 2 mots du vas sur le site zimagez , tu te crées un compte , tu y importes tes photos et ensuite tu copies les liens dans ton report.
Je sais que ça pompe l'air et prend du temps mais tous le monde sera curieux de voir tes photos.
Enregistré le: Ven Jan 29, 2010, 00:46 Messages: 52
Très beau récit, pour une très belle aventure, on s'y croirait vraiment! Merci pour le partage. Certainement les photos doivent êtres très belles, on les attend avec impatience. Voici le lien pour les photos: viewtopic.php?f=7&t=5
_________________ Aujourd'hui:est le premier jour du reste de ta vie.
Enregistré le: Jeu Juin 28, 2007, 09:52 Messages: 6647 Localisation: Mediterranean Sea
Tu cliques sur le lien que tu viens d'insérer, ensuite "partager" en bas de la photo. Une nouvelle fenêtre s'ouvre et te propose plusieurs possibilités, opte pour la grande vignette "bbcode", tu copies et tu colles direct dans ton message P.S : Avant de charger tes images, pense à t'enregistrer sur Zimage, si non tes photos disparaitront rapidement et laisseront place à un vide dans ton C.R.
_________________ Qu'est ce qu'on ne ferait pas pour ramasser une bastos !!
Enregistré le: Sam Avr 05, 2008, 19:18 Messages: 4183 Localisation: Pas loin de la mer !!!
Franchement merci très très beau report enfin ça c'est de l'expédition ça doit pas être de tout repos en plus de la pêche tout la journée il faut se battre avec la nature et dormir a la belle étoile cela parait amusent, mais avec les moustiques et autres bebèttes pendant plusieurs jours, cela devient j'imagine, moins rigolo de plus il faut gérer la fatigue donc un seul mot BRAVO et pas que pour la pêche
Enregistré le: Mar Jan 13, 2009, 17:34 Messages: 54 Localisation: Comines Belgique
Paradoxalement, il n'y avait aucun moustique et à ma grande surprise aucune bêbête avec des crocs ou des mandibulles comme j'ai pu lire avant mon départ. Pour te dire, on ne mettait même pas de répulsif J'avais acheté un traitement antipaludisme et vu le prix que ça coûte si j'y retourne, je ne le prendrais plus Bon à savoir pour les autres Amicalement Fab
Enregistré le: Sam Avr 05, 2008, 19:18 Messages: 4183 Localisation: Pas loin de la mer !!!
GT-Tropic a écrit:
Paradoxalement, il n'y avait aucun moustique et à ma grande surprise aucune bêbête avec des crocs ou des mandibulles comme j'ai pu lire avant mon départ. Pour te dire, on ne mettait même pas de répulsif J'avais acheté un traitement antipaludisme et vu le prix que ça coûte si j'y retourne, je ne le prendrais plus Bon à savoir pour les autres Amicalement Fab
bennnnn ça alors, peut être une question de saison, mais temps mieux Bravo quand même
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pour une très belle aventure, on s'y croirait vraiment! 
Merci pour le partage. 
on les attend avec impatience.
